Le monde syndical

Le rattrapage salarial : pour la relance de l’UQAM

La question du rattrapage salarial est, dans le monde syndical, une demande traditionnelle. Il est normal que les travailleuses et travailleurs souhaitent obtenir la parité avec leurs consœurs et confrères œuvrant dans un même corps professionnel.

Les fausses bourses : une pratique illégale

S'il est un enjeu complexe du travail étudiant, c'est précisément le fait que ceux et celles qui l'accomplissent sont à la fois travailleurs-euses et étudiant-e-s. Ce double statut donne lieu à des malentendus auxquels le SÉtuE souhaite justement remédier pendant la présente ronde de négociation.

L’affichage des postes : la fin de l’arbitraire

Une des revendications principales du SÉtuE, adoptée lors de l’AG du 3 juin 2008, est l’affichage des postes. D’après la convention collective, seuls les postes d’auxiliaires d’enseignement de plus de 45 heures doivent être affichés. Nous pensons que c’est inacceptable! Le SÉtuE revendique l’affichage des postes parce que :

Auxiliaire, secrétaire, peintre, ou porteur de café? Nous revendiquons une description de tâches!

Mélanie (1) , adjointe de recherche, a été surprise d’apprendre, après son embauche, qu’une de ses principales tâches est de servir le café à l’équipe de recherche et de faire le marché pour les lunchs de ceux-ci. Marc, quant à lui, ne s’attendait pas à ce que son emploi d’assistant mobilisateur comporte plusieurs tâches administratives comme de la comptabilité et de l’archivage.

La limite de 15 heures par semaine : un incitatif à s’éloigner de l’UQAM

Les clauses 5.01 de nos deux conventions collectives stipulent que les employé-e-s étudiant-e-s ne peuvent travailler plus de 15 heures par semaine, sur le campus, durant les sessions d’hiver et d’automne. Quant aux clauses 5.02, elles permettent aux employé-e-s étudiant-e-s de travailler plus de 15 heures par semaine durant la session d’été.

Le Devoir : Courchesne ne s’offusque pas de l’offre de cours en anglais à l’UQAM

La ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, ne croit pas qu'offrir des cours en anglais dans une université francophone constitue une menace à l'enseignement du français.

Le Devoir : L’UQAM, une université bilingue ?

Six cours de gestion seront donnés entièrement en anglais cet automne

Pour en finir avec les négos : le rôle des membres

Le moment de la fin des négos est difficile à prévoir, mais nous souhaitons tous et toutes que cela se produise alors que nous serons encore étudiant-e-s employé-e-s!

Bilan de notre mobilisation

En dépit de toute l’énergie mise dans le bon déroulement des négociations, le SÉtuE n’a pas chômé non plus pour se faire connaître auprès des étudiant-e-s employé-e-s et faire valoir ses positions auprès de la communauté uqamienne, entre autres grâce au nouveau comité de mobilisation, au sein duquel la participation est croissante.

Impressions d’une employée étudiante : des négociations en trompe-l’oeil

Crise financière, grève des profs, conventions collectives en suspens, désastres immobiliers non réglés… L’hiver 2009 restera dans les mémoires comme celui de la crise de la quarantaine de l’UQAM, avec ses hauts et ses bas, ses grands moments de solidarité intersyndicale et ses entourloupes patronales.

Service de garde en milieu familial – Première application de la Loi 51: les RSG obtiennent enfin leur syndicat CSQ

MONTREAL, le 2 sept.

Le Devoir : D’autres opposants aux projets de loi sur la gouvernance

Les quatre collèges anglophones de la région de Montréal réclament de la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, le retrait du projet de loi 44 sur la gouvernance des cégeps. Ils présenteront aujourd'hui, lors des audiences de la commission parlementaire sur l'éducation, un mémoire exigeant son abandon.