Voici un aperçu des différentes campagnes et activités du SÉTUE et de ses comités. Pour rester à l’affût de toutes les nouvelles, suivez-nous sur nos réseaux sociaux.
Les étudiant·e·s employé·e·s trans et non binaires exigent (encore) du changement
Alors que l’UQAM a convié la population uqamienne à joindre sa délégation dans le cadre du défilé de la Fierté cet été — puisque ce sont les « valeurs d’inclusion [qui en font sa marque] depuis 50 ans » —, force est de constater qu’elle accorde pourtant peu d’importance au bien-être des personnes issues des communautés LGBTQIA+ en ses murs. Cette situation est inacceptable et nous encourageons la population uqamienne à faire entendre son mécontentement face à la présomption d’inclusivité promue par l’UQAM.
Uni·e·s contre la dérégulation des frais de scolarité
On invite toutes les associations étudiantes et les syndicats universitaires à prendre position et à se mobiliser sur cet enjeu. Disons clairement et solidairement : « non aux hausses! »
L’UQAM accueillait ses premier·ère·s étudiant·e·s, il y a maintenant cinquante ans. Ouverte dans la précipitation à la suite de l’effervescence étudiante du « Moment 68 » québécois, l’UQAM et le réseau de l’Université du Québec marqueront dès lors la transformation de l’éducation supérieure québécoise, mais aussi les mouvements qui agitent la société québécoise.
Fermeture de la salle Marie-Gérin-Lajoie : la perte d’un haut-lieu de la vie uqamienne
Alors que l’UQAM entend fêter depuis le mois d’avril 50 ans « d’audace » et de « démocratisation du savoir et de la culture », elle procède en même temps à la destruction d’un haut-lieu de son histoire : la salle Marie-Gérin-Lajoie. En démantelant cette salle de théâtre de plus de 700 places au profit d’un studio de cinéma réservé à l’École des médias, l’UQAM prive ainsi non seulement l’École de théâtre et ses étudiant·e·s d’un lieu majeur d’apprentissage, de travail et d’expression, mais elle supprime également à l’ensemble de la communauté uqamienne l’accès à un espace de spectacles, de rencontres et de débats.
Antisyndicalisme, hermétisme et sourde oreille de la part de l’UQAM dans la lutte aux violences sexuelles
Nous continuerons d’exiger sans relâche que toutes les ressources soient mises en place pour lutter efficacement et durablement contre le sexisme, l’hétéronormativité, la cisgenrenormativité et les violences à caractère sexuel en contexte universitaire, autant auprès de l’administration uqamienne qu’auprès du gouvernement provincial.