Première à être entendue aux consultations publiques des projets de loi 38 et 44 sur la gouvernance des collèges et des universités le 1er septembre prochain, la Fédération des cégeps aura avec elle une longue liste de modifications à apporter et de récriminations. Premier point: les 15 millions que coûterait annuellement, selon ses calculs, la mise en oeuvre du projet de loi. «Il y a véritablement un risque de bureaucratisation et on a tellement d’énergie a consacrer à la réalisation de notre mission éducative. […] On arrive mal à comprendre qu’on soit obligés de divertir 15 millions de cette mission pour investir dans un support bureaucratique qui existe déjà», a dit Gaëtan Boucher, président de la Fédération des cégeps.
Consultez l’article intégral de l’article de Lisa-Marie Gervais de l’édition des 28 et 29 août 2009 du Devoir.