L’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSE) a réitéré hier, étude à l’appui, que Québec devrait cesser de passer par les banques pour verser les prêts et bourses aux étudiants.
Selon une étude de l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques (IRIS), le provincial verse de 40 à 120 millions de dollars par année aux banques en intérêts pour les prêts d’étudiants encore sur les bancs d’école. Les étudiants diplômés, eux, versent 32 millions par année en intérêts sur leurs prêts aux différentes banques. Selon l’association étudiante, il serait donc plus avantageux que le gouvernement fasse lui-même la gestion des prêts étudiants. Elle estime que capital de la Caisse de dépôt et placement du Québec pourrait être utilisé pour financer le tout.
Consultez l’article intégral de l’édition du 15 octobre 2009 du Devoir.