Que vous soyez à votre premier contrat d’étudiant·e employé·e à l’UQAM ou à votre dixième, il est toujours primordial de bien compter vos heures de travail. Peu importe la nature du travail, nous sommes bel et bien payé·e·s à l’heure et non de façon forfaitaire.

Voici quelques rappels :
* Le temps de préparation en lien avec le travail de monitorat, par exemple, est essentiel et fait partie des tâches rémunérées.
* Le travail de soutien académique et logistique dans des colloques, des congrès ou des chaires de recherche, par exemple, doit être rémunéré. (Préparation ou distribution de documents et de matériel lors de colloques ou des congrès, accueil lors de tels événements, etc.)
* Faire du travail gratuit (bénévolat) en début de carrière, ce n’est pas normal. Notre travail est nécessaire, nous méritons salaire! Nous sommes auxiliaires, on assiste les profs et les chargé·e·s de cours dans leurs tâches et ce sont elleux qui ont la responsabilité du cours et de l’évaluation.
* Il est courant d’avoir un sentiment de culpabilité ainsi que l’impression de prendre trop d’heures, mais rappelez vous que le travail d’auxiliaire et d’assistant·e est exigeant. Le manque de temps pour un travail de qualité est souvent dû à une mauvaise estimation des heures nécessaires pour le réaliser.
* N’oubliez pas de comptabiliser toutes vos minutes et vos heures de travail, notamment avec l’aide d’un logiciel ou d’une application comme Clockify.
* Si ça fonctionne, c’est parce qu’on travaille.