QUÉBEC, le 13 mai 2011 /CNW Telbec/ – Le député de Richelieu et porte-parole de l’opposition officielle pour le Conseil du trésor, la fonction publique et les services gouvernementaux, Sylvain Simard, et le député de Kamouraska-Témiscouata et porte-parole de l’opposition officielle en matière de recherche, de technologie et d’innovation, André Simard, sont très heureux d’avoir convaincu le gouvernement libéral de maintenir les trois fonds de recherche du Québec.
La fusion des trois fonds de recherche prévue dans le projet de loi 130 était décriée par la quasi-unanimité des partenaires du milieu de la recherche. « L’intention initiale de fusionner les trois fonds a surpris tout le monde, d’autant plus que personne n’avait jamais remis en question la structure. On vantait plutôt ce modèle comme étant performant et efficace. Le gouvernement n’a jamais réussi à nous convaincre de l’utilité de jeter à la poubelle un modèle qui fonctionne bien. Nos efforts, jumelés à ceux du milieu, ont permis de faire entendre raison au gouvernement. Nous en sommes heureux », a indiqué Sylvain Simard.
Le député de Kamouraska-Témiscouata, André Simard, abonde dans le même sens. « Nous étions convaincus que les objectifs visés d’économies, d’intersectorialité et de meilleure performance pouvaient être atteints sans la fusion des trois fonds. Aujourd’hui, le recul du gouvernement le prouve. Pendant un an, le milieu de la recherche a été mobilisé contre cette fusion. La recherche, c’est le pilier de notre développement économique et social, on ne peut se permettre de perdre autant de temps en débat de structures. Maintenant, il faut aller de l’avant sans perdre de temps », a ajouté André Simard.
Pour sa part, la députée de Taillon et porte-parole de l’opposition officielle en matière d’enseignement supérieur, Marie Malavoy, croit que « la pression des chercheurs et du corps professoral aura contribué à faire entendre raison au gouvernement. Nous avons donc travaillé dans le même sens, tous ensemble, pour le bénéfice de la recherche au Québec ».
Source: Gouvernement du Québec