Après près de 8 mois de pause, l’UQAM est fin prête à reprendre les négociations. Le 26 février il y aura une table de négociation entre l’UQAM et le SÉTUE. Après tout ce temps, il peut être intéressant de faire un retour sur où nous en étions avec les négociations de la convention collective.
Nous avons rencontré l’UQAM à quelques reprises entre les mois d’avril, mai et juin. Les premières rencontres ont servi principalement à mettre de l’avant nos demandes et à expliquer le contexte dans lequel elles ont été élaboré. Ces premières demandes qui ont été présenté sont celles qui ne touchent pas aux revendications monétaires. La partie monétaire n’a toujours pas été déposé à la partie patronale. Lors de notre dernière rencontre avec l’UQAM, l’employeur nous avait demandé de déposer nos demandes qui touchaient le monétaire, chose que le conseil syndical a refusé catégoriquement.
Il faut savoir que les seules choses sur lesquelles nous nous sommes entendues avec la partie patronale c’est sur le statut quo. L’UQAM ne veut pas trop négocier le non monétaire avant d’avoir le portrait global de nos revendications. De notre coté nous ne voulons pas que les demandes normatives (non monétaires) soient délaissées par des discussions sur l’argent et la gestion de cet argent.
Suite au 26 février nous vous donnerons plus de nouvelles sur la suite des négociation
Nos revendications prioritaires sont :
-
Un rattrapage salarial du premier cycle
-
L’abolition de la distinction entre travail spécialisé et non spécialisé
-
La mise en place d’un plancher d’heures pour les auxiliaires d’enseignement
-
Une plus grande transparence et une plus grande accessibilité du processus d’embauche des auxiliaires d’enseignement
-
La mise en place de contrats signés pour les auxiliaires de recherche
-
La signature d’ententes de reconnaissance intellectuelle pour les auxiliaires de recherche
- Une augmentation des délais de grief