Une nouvelle étude de l’IRIS, par Julie Depelteau
Au Québec, les soins de la santé reproductive des femmes ont un rapport particulier avec le secteur privé. Parfois ce secteur participe à offrir un service que le secteur public se refuse à fournir, comme ce fut le cas avec l’avortement pendant des années. En d’autres occasions, le secteur privé y saisit des opportunités de profiter d’un financement public. Dans cette note socio-économique, l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques (IRIS) se penche sur l’avortement1 et la procréation médicalement assistée (PMA), deux cas dans lesquels l’importance du secteur privé dans l’offre de soins de santé est notable, pour tenter de comprendre les bénéfices et inconvénients de la participation du privé au domaine de la santé reproductive.
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