À l’UQAM, de nombreux laboratoires, notamment en chimie et en biochimie, conditionnent encore des bourses à du travail non rémunéré. Derrière ce système opaque, ce sont des centaines d’étudiant·e·s — souvent de l’international — qui se retrouvent sans contrat, sans protection légale et sans recours face aux abus. Exploitation, surtravail, harcèlement et précarité : les témoignages s’accumulent et révèlent une réalité assez inquiétante.
Le SÉTUE dénonce cette situation et propose des solutions telles la reconnaissance du travail étudiant comme un véritable emploi, la séparation des bourses de la subordination au travail, et la protection des étudiant·e·s par des conventions collectives.
Parce que l’université ne doit pas être un lieu d’exploitation mais un espace d’émancipation, nous appelons à la solidarité de toute la communauté universitaire. Mettons fin à ces pratiques et exigeons un salaire étudiant universel !
Consultez et partagez notre tract pour en savoir plus : [SÉTUE] Dans l’ombre des labos