Le double statut des membres du SÉTUE, à la fois employé·e·s et étudiant·e·s, engendre des relations parfois complexes avec les professeur·e·s. En effet, les personnes qui dirigent nos projets de mémoire ou de thèse sont aussi, bien souvent, les personnes qui peuvent nous donner des contrats. Me Dominique Demers, la protectrice universitaire de l’UQAM, lève le voile dans son rapport annuel 2020-2021 sur l’ampleur des difficultés relationnelles vécues par les étudiant·e·s des cycles supérieurs avec les professeur·e·s qui les dirigent. De même, le SÉTUE constate depuis plusieurs années à quel point le Bureau d’intervention et de prévention du harcèlement de l’UQAM (BIPH) ne répond pas adéquatement aux problèmes vécus par la population étudiante et par les étudiant·e·s employé·e·s.
Nous vous invitons à lire l’article «Des étudiants vulnérables en cas de conflit avec leur professeur» écrit par Louise Leduc dans La Presse.