De l’importance de mettre fin au travail gratuit

Type d’information :
Auteur :

En cette fin de session, nous vous rappelons que vous n’êtes pas payé-e-s «à forfait» mais bien à l’heure. Si le nombre d’heures prévu au contrat tire à sa fin, mais qu’il vous reste des tâches à compléter, deux solutions s’offrent à vous :

1- Arrêter de travailler puisque  tout travail doit être rémunéré !

2- Remplir le formulaire de prolongation ET le faire valider par le département (la validation de la prolongation dépend des fonds restants du département).

Le surplus des heures travaillées, si le contrat n’est pas renouvelé, constitue du bénévolat. Or, plusieurs membres du SÉtuE travaillent sans avoir de salaire, par exemple pour terminer des corrections, ce qui n’est pas approprié. Un contrat de travail a un nombre d’heures déterminé et la poursuite des corrections doit se faire uniquement lorsqu’un renouvellement de contrat a bien été accepté. Sinon, il est de la responsabilité des professeur-e-s ou chargé-e-s de cours de compléter la correction, puisqu’ils et elles sont payé-e-s pour le faire. L’augmentation du budget pour les auxiliaires d’enseignement permettrait à plus d’étudiant-e-s d’avoir un contrat de travail lié à leur champ d’études et faciliterait les reconductions de contrats lorsque cela s’avère nécessaire, en plus de réduire la précarité étudiante. Cliquez ici pour plus d’information

Articles reliés

LE SÉTUE EN GRÈVE LES 15 ET 16 OCTOBRE 2025🧨

Lors du Conseil syndical extraordinaire, les délégué·e·s ont voté à l’unanimité de déclencher la […]

Mini-journal des négos 2025

Pour suivre l’essentiel de nos revendications et des enjeux de la négociation en cours, […]

Dans l’ombre des labos

À l’UQAM, de nombreux laboratoires, notamment en chimie et en biochimie, conditionnent encore des […]